Blog Familial

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dimanche 24 mai 2015

Arduino : une classe pour le LCD Keypad Shield

Il y a une classe `LiquidCrystal` pour piloter l'afficheur du LCD Keypad Shield, mais elle gère seulement l'affichage. Pour les boutons, on est priés de se débrouiller avec analogRead(). Pas très sympa. D'où l'idée de faire une petite classe pour s'occuper des boutons.

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dimanche 5 avril 2009

Téléphone, goudron.

Mon message de début janvier aurait pu laisser croire que l'affaire du téléphone était réglée. Hé non. Enfin maintenant oui. Presque.

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dimanche 11 janvier 2009

Ya le téléphon

Ayé ça marche. Enfin presque.

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vendredi 17 octobre 2008

Allo, y a quelqu'un ?

Faire installer le téléphone semblait être l'opération la plus facile ...

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samedi 20 septembre 2008

Plancher chauffant, panneaux solaires, coffrets, raccordements

L'échéance fatidique (fin octobre) approche.... mais ne désespérons pas, on avance.

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jeudi 4 septembre 2008

C'est reparti

Au de rez-de chaussée il y a aura un plancher chauffant, dont la chaleur proviendra des panneaux solaires et de la chaudière d'appoint au gaz.

La chaudière a été livrée la semaine dernière au sous-sol. Lundi le maçon a monté le conduit de la cheminée, et mardi il a coulé la chape de ragréage.

(Bientot, photos chape et conduit)

Le conduit de cheminée, construit avec des boisseaux de 20 x 30 cm, traverse les deux dalles (sous-sol/RDC et RDC/étage). Les dalles sont tenues par des poutrelles, qu'il ne faut évidemment pas découper. Evidemment elles ne sont pas alignées, mais quand assez pour qu'on puisse y faire passer un tuyau de 20 cm de diamètre. Actuellement c'est du 15 cm de diamètre pour la chaudière gaz, mais il fallait prévoir 20 cm pour un éventuel remplacement ultérieur par une future chaudière bois (avantageuse quand celle-ci aura claqué, dans une dizaine d'années, qui sait ?).

La chape de réagréage, ça consiste à ajouter une petite couche sur la dalle existante, pour rattrapper autant que possible l'horizontalité (il devait y avoir 2 ou 3 cm d'écart sur la dalle). Les tuyaux du plancher chauffant pourront être posés après 48 h de séchage, et il faudra refaire une chape dessus, qui elle même devra sécher un certain temps avant montage des cloisons, pose des carrelages etc.

Le souci actuel est dans le "certain temps", sachant qu'on voudrait y être fin octobre, puisqu'on doit laisse l'autre maison au 1er novembre.

Un autre sujet chaud (électrique, dit Simon), c'est le coffret EDF. Comme nous avons été les derniers du lotissement à faire construire, les entrepreneurs des autres parcelles ne se sont pas trop gênés pour manoeuvrer sur notre terrain (la raquette de retournement est trop petite pour les camions), et un jour, bing dans notre coffret électrique et celui de la voisine, qui a été remplacé par EDF quand elle a demandé son raccordement.

Photo d'août 2007.

Quand nous avons demandé un compteur de chantier à EDF en soulignant le problème du coffret cassé, nous pensions naïvement que le problème serait résolu. En fait le sous-traitant d'EDF est venu, a mis un compteur de chantier dans nouveau coffret au bout d'une ligne provisoire dérivée du coffret de la voisine, et au revoir messieurs-dames. En laissant le coffret cassé (toujours sous tension et emmitoufflé dans du plastique) sur la chaussée au bout de la ligne sous tension.

Jusqu'ici les appels et courriers auprès d'EDF n'avaient pas donné grand chose, sinon, de temps un temps, un réemballage par mesure de sécurité. Finalement, un début de déblocage la semaine dernière, EDF (qui est le seul à pouvoir intervenir) cesse de faire la sourde oreille, et nous envoie un autre sous-traitant qui est venu voir hier mercredi. Nous attendons le devis pour ce qui apparait depuis le début comme la solution définitive : remplacer le coffret cassé par un neuf et l'encastrer.

On espère qu'ils n'oublieront pas d'enlever la ligne et le coffret provisoires :-)

Suite Ne voyant rien venir vendredi 12, appel à ERDF pour savoir où en était le dossier. Horreur, on le retrouve pas. Ou plutôt il y en a plusieurs. Ca pourrait expliquer.

Suffisait de demander pour le faire venir : le lendemain Samedi 13, le devis (envoyé le 8) arrive. J+5 pour Gradignan-Pessac, bravo la Poste.

mercredi 13 août 2008

Ca n'avance pas

Sommes passés sur le chantier après 2 semaines d'absence. Contrairement à ce qui avait été promis (pour fin juillet...), le plancher chauffant n'a pas été installé, ce qui bloque évidemment le suite des travaux (carrelage, puis cloisons etc).

mercredi 23 juillet 2008

Façade

Une fois crépie la façade a une autre allure. Photo prise hier matin pendant le passage de la seconde couche :

Depuis, la troisième couche a été faite : légèrement plus sombre elle s'intègre aux couleurs des constructions voisines. Ca sera encore mieux avec les panneaux solaires, qui cacheront le bleu de la surface métallique. Ca va finir par ressembler à une maison.

A comparer avec cette vue de décembre 2007, avec la couleur brique un peu traumatisante :

Sinon, on constate qu'à l'intérieur il fait relativement frais, malgré les 31° à l'extérieur. On devrait donc arriver aux performances thermiques voulues en été, avec l'isolation par le toit, les stores de la véranda, les panneaux qui masqueront la partie métallique, etc.

vendredi 18 juillet 2008

Chantier, retards, embrouilles

Pour pas changer, il y a encore du retard sur le chantier. Pas de blagues, il faut qu'on y soit en octobre !

Prochaine étape, réalisation d'une petite chappe au RDC pour rattraper le niveau, puis pose du plancher chauffant. En parallèle, enduit extérieur. Normalement, la semaine prochaine...

Les panneaux solaires ont été livrés et posés surle toit, mais le temps que j'aille chercher l'appareil photo, ils étaient redescendus. Un problème de fixation à résoudre.

La vente de la maison actuelle a été cause d'embrouilles. Pour faire vite et nous simplifier la vie (haha !), nous sommes passés par une agence qui nous a fait signer un mandat exclusif avec une clause libératoire permettant de traiter directement avec quelques personnes nommément désignées, et commentaires rassurants sur l'air de "ça pose pas de problèmes, on fait souvent comme ça, dans ce cas vous ne nous devrez rien" etc.

Le jour où nous avons signalé que nous traitions effectivement avec une de ces personnes, ça a été une autre chanson : coup de fil pour rappeler que l'agence a travaillé pour nous, que ça lui coûte de l'argent, et qu'elle doit bien gagner sa vie. C'est vrai, mais légalement elle gagne sa vie avec les clients qui signent par son intermédiaire, et dans le contrat, ils ont pris ce risque explicitement en insérant la clause. Puis évocation de complications juridiques, de poursuites, de blocage de la vente, de référé, de condamnation au pénal etc alors qu'il serait si simple, et pas moins avantageux pour nous, de traiter avec leur client, on pourrait même faire un effort sur la commission. Bref, le FUD prévu. Echanges de lettres recommandées etc.

Tout le monde sur le pont. Après divers avis (avocat, notaire, ...) , convergents au point que c'en est inquiétant (n'aurait-on pas oublié de leur présenter un aspect de l'histoire ?), on se convainc qu'à défaut d'être à l'abri des tracas éventuels (on est manifestement en plein dedans), on est sur une position saine, et en avant toute, on signe le compromis avec notre acheteur.

Finalement, après quelques semaines de suspense, on apprend que l'agence décide de classer l'affaire sans suite.

Bref, vouloir faire vite et se simplifier la vie, en voila une bonne idée !

PS: au passage, un site Web consacré au droit immobilier : Jurisprudentes, fait par un cabinet juridique. Ca permet de se faire une idée de la complexité de la chose, et de voir que pour vous occuper sérieusement de vos affaires, il faut consulter directement un professionnel !

mercredi 16 avril 2008

Le lampadaire a bougé !

Lundi notre ami le lampadaire a rejoint son nouvel emplacement, et retrouvé sa verticalité.

samedi 15 mars 2008

Extérieur et intérieur

La pose de la véranda est terminée, vues extérieure et intérieure,

(avec un petit coucou de notre ami le lampadaire).


Le séjour est au sud, pour l'instant on peut regarder le mur des voisins et les nuages qui passent,

Plus tard on verra aussi pousser des petits arbres.


A l'intérieur, volutes d'escalier

Le trou du haut est celui des photos de septembre.

Pour la petite histoire, en coulant la dalle, les maçons se sont trompés d'un mètre, en confondant la cote du centre du trou pour celle du bord. Il leur a donc fallu déplacer le trou, mais à cause des poutrelles porteuses il est resté un écart d'une vingtaine de centimètres par rapport à la position prévue initialement.

vendredi 22 février 2008

Le chantier repart

Pour changer, une vue depuis l'ouest (fond du jardin) qui montre l'incroyable avancement de ces derniers jours, sous le beau soleil d'une fin de journée :

  • à gauche réalisation du balcon au dessus de la terrasse, avec sa couverture (et les descentes de gouttières)
  • à droite mise en place des montants de la véranda, poteaux bleu surmontés de la couverture métallique sur laquelle reposeront les panneaux solaires.

En haut il devrait y avoir un bardage bois, si je me rappelle bien.

Lampadaire, (suite) et (à suivre)

Lors de la réunion sur le chantier, le constructeur nous avait annoncé que le goudronnage des trottoirs se ferait vers la mi-janvier 2008 et que d'ici là, nous recevrions une lettre du géomètre pour fixer l'accord pour le nouvel emplacement du lampadaire, de façon à creuser et reboucher les trous avant le goudronnage, de préférence.

Nous avons reçu ladite lettre début février, après que les voisins se soient émus - collectivement et par écrit - auprès du constructeur de ne toujours rien voir venir. Manque de chance, l'emplacement proposé (à gauche de la porte d'entrée) ne correspond pas à ce qui avait été discuté.

A gauche de la porte d'entrée, ça gêne pour descendre les vélos et machins encombrants au sous-sol, qui est fait pour ça. C'est pour ça qu'on avait dit à droite.

C'est reparti pour un tour...

Sinon, la construction, ça avance. Photos à suivre.

dimanche 2 décembre 2007

Toiture et lampadaire

Quelques nouvelles du chantier

  • le maçon a fini le gros oeuvre (avec 3 mois de retard)... et ferme boutique
  • la toiture est là
  • l'affaire du lampadaire avance

J'avais déjà annoncé des explications pour le lampadaire, qui n'est pas très simple à exposer. Comme l'affaire a l'air de se résoudre, on y va.

Le lampadaire

En gros, le plan de composition du lotissement en vigueur, qui a été déposé par le promoteur et auquel se conforme notre permis de construire, impose que l'entrée des voitures sur notre terrain se fasse par un passage-bateau du côté sud de la parcelle. Or le constructeur a mis un lampadaire en plein milieu, et réalisé le passage côté nord. Question : qui va payer les modifications ?

La situation s'explique comme suit :

1. Début 2003, nous avons trouvé ce terrrain, bien placé dans le centre de pessac mais un peu cher, un peu par hasard, alors qu'un premier acheteur venait de se désister. Nous avons signé un sous-seing privé avec le promoteur comportant un plan où figure le passage bateau au Nord, et le lampadaire au sud.

2. En mai 2003, le promoteur nous a écrit qu'il dépose un modificatif pour l'arrêté de vente des lots par anticipation, pour faire suite aux demandes de certains clients. Nous, on n'a pas demandé de modifications, et on ne s'inquiète donc pas de ne pas recevoir le nouveau plan.

3. En Aout 2003, on signe l'acte de vente, qui se base sur l'arrêté modificatif de juin 2003, et qui comporte un plan de bornage conforme à ceux du sous-seing. (On s'apercerva ensuite que la flèche censée montrer l'orientation est à l'envers, mais peu importe ...)

4. En 2006, on se décide à concrétiser la construction. Et là on réalise qu'on ne pourra pas obtenir de permis de construire selon les plans qu'on nous a fournis jusque-là : ils sont contraires avec ceux de l'arrêté modificatif de juin 2003, qui prévoient un accès à la parcelle par le sud, là où le constructeur a mis le lampadaire. La pièce que le promoteur a mis dans l'acte de vente était donc caduque, de son propre fait puisque c'est lui qui a déposé le modificatif, et qui plus est il s'est trompé de plan pour faire réaliser les aménagements.

A l'origine de ce pataqués, il y a probablement une demande du premier acheteur, début 2003, pour modifier le plan de composition selon ses désidératas. Et ensuite un cafouillage entre le promoteur, le géomètre, etc. qui a conduit à mettre une pièce caduque dans l'acte de vente.

Les conséquences :

5. En juillet 2006, nous obtenons un permis de construire conforme à l'arrêté modificatif, et nous signalons plusieurs fois au promoteur qu'il doit rectifier ses erreurs ; en particulier le lampadaire va être une gêne pour le chantier de construction. Le promoteur répond qu'il a construit conformément au plan figurant dans l'acte de vente, et qu'il ne s'est engagé à rien d'autre envers nous.

6. On commence le chantier en janvier 2007. Forcément, un jour un véhicule finit par toucher le lampadaire et érafler le mur de la voisine. Le lampadaire se trouve un cousinage avec la Tour de Pise.

7. En juin 2007, la mairie fait une réunion avec les intéressés, à propos de ce lotissement qui n'est pas terminé (outre le lampadaire, les trottoirs ne sont toujours pas goudronnés) pour être rétrocédé à la CUB. Conclusion nette : le promoteur doit se conformer à l'arrêté modificatif de vente anticipée des lots, et régulariser sa situation (l'arrêté fixait la fin de la réalisation en 2003....). Le géomêtre présent indique qu'il se renseignera sur le coût des travaux nécessaires.

8. Fin octobre 2007, ne voyant rien venir, nous faisons une lettre de mise en demeure, avec un délai d'un mois.

9. Fin novembre, le promoteur manifeste une soudaine envie de s'occuper des trottoirs (la fois précédente, il nous l'avait promis pour le premier trimestre 2007), qui nous fait opportunément apparaitre aux yeux des copropriétaires - qui n'en peuvent plus d'attendre - comme les empêcheurs de goudronner en rond. Et propose une réunion sur place avec toutes les parties concernées le mardi, en annonçant le goudronnage pour la fin de la semaine.

10. Nous venons avec notre avocat. Déplacer un lampadaire et refaire les bordures, ça coûte cher. Le géomètre annonce la somme de 7000 €. Le promoteur reconnait qu'il s'est peut être un peu trompé, et propose d'abord de partager les frais. La bonne blague. Comme nous sommes sûrs de notre bon droit dans cette affaire où nous avons l'impression de nous faire ballader depuis le début, et déterminés à aller en justice au besoin, et que dans ce cas les dommages et intérêts ne manqueront pas de tomber dru (le lotissement devait être terminé il y a 4 ans...), le promoteur, finalement, laisse tomber l'idée de nous faire participer aux frais de régularisation de ses erreurs. Et curieusement, le goudronnage se trouve repoussé à mi-janvier 2008, le temps de s'occuper de faire les modifications.

Happy end ?

A suivre un jour : les photos du nouveau lampadaire, quand il sera réalisé !

samedi 6 octobre 2007

Vu de l'avenue Nancel Pénard

L'allée du Tertre des Vignes, vue depuis le sud, (le trottoir d'en face de l'avenue Nancel Pénard). Pour l'instant, en brique, ça se remarque, mais quand ça sera enduit, on devrait juste voir les panneaux solaires au dessus de la véranda, et le pignon sud en bois.

Depuis que j'ai fait cette photo, où on voit le pignon nord, les murs intérieurs en parpaings sont monté sur la dalle du 1er étage.

Ça va être le tour du charpentier, et du serrurier qui fait la véranda, et ça sera enfin hors d'eau, avec quelques mois de retard...

En parlant d'eau, pour les prochaines photos, on attendra le retour du soleil !